Ah le vélo, ce fabuleux moyen de transport à deux roues qui repose sur l’équilibre et le mouvement. Qui a eu l’idée de l’inventer ? Quelles sont les personnalités qui ont contribué à écrire son histoire ?
Réponses dans cet article !
Le vélo, à son origine
La bicyclette, depuis qu’elle a été inventée en 1817 par l’allemand Karl Von Drais de Sauerbrun, n’a eu de cesse d’évoluer. Remontons à ses origines :
La première bicyclette n’était en réalité qu’une simple draisienne car bien qu’elle était munie de deux roues, celle-ci ne possédait pas de pédalier. Il était donc impossible de la faire avancer autrement que par la marche ou la course à pieds. Oui oui, la draisienne de votre enfant n’est autre que la toute première version de votre cycle actuel. Bon à quelque chose près, on vous le concède.
Le premier vélo à pédales
Ce n’est qu’en 1861 que le tout premier pédalier rotatif apparaît ! Vous avez vu, il en aura fallu du temps pour qu’un Homme se dise qu’il serait préférable de s’asseoir sur son vélo. Cet Homme, un artisan français du nom de Pierre Michaux, a inventé le “Vélocipède”. Une machine particulièrement inconfortable d’ailleurs qui lui vaudra le surnom de “secoueuse d’os”. Pas très glorieux mais le vélo, tel qu’on le connaît actuellement, tient là sa toute première version !
Le Grand-Bi : évolution du Vélocipède
Une dizaine d’années plus tard, c’est en Angleterre que tout se passe. En effet, un inventeur nommé James Starley trouve le moyen de rendre plus léger le Vélocipède. Celui-ci conçoit un tout nouveau modèle, à la roue avant grossie et la roue arrière bien plus petite.
James est également considéré comme le père de l’industrie du vélo, tant son Grand-Bi a rencontré un immense succès. Néanmoins, ce vélo était particulièrement délicat à manier. Effectivement, il n’était pas rare de chuter en faisant un “soleil” (pour ceux qui ne sauraient pas, c’est le fait de basculer par-dessus le guidon).
Le Rover : plus de sécurité pour une silhouette contemporaine du vélo
Cette fois ce n’est pas James mais John Kemp Starley, son neveu qui mit sur le marché la “bicyclette de sûreté”. En effet, doté d’une transmission par chaîne, d’un cadre en tubes d’acier et de roues avec des rayons de taille bien plus raisonnable, ce vélo se rapproche plus du modèle moderne.
PS : il devait son surnom de “bicyclette de sûreté” au fait que contrairement au Grand-Bi, il était quasiment impossible de faire un “soleil”.
Et oui, en plus de ça, il faut bien se dire qu’à l’époque les cyclistes ne portaient pas de casque ! Jusque dans les années 40, ce dernier n’avait pas la cote auprès d’eux. Il a seulement été popularisé après guerre par un coureur mythique : Jean Robic.
Les derniers types de vélos
Nous faisons un bond d’un peu moins d’un siècle pour vous parler des tout derniers genres de vélos. Récemment, la grande mode à avoir été aperçue à Paris : les vélos cargos.
Très pratiques, ils permettent de transporter plusieurs enfants, des sacs de courses… Il s’agit véritablement du vélo porteur par excellence et il fait sens.
Dans le rayon des tout derniers types de vélos, il existe aussi les “vélos longtails”, autrement dit les vélos à longues queues. Un peu comme les vélos cargos, ils ont l’avantage de pouvoir transporter deux enfants à l’arrière ! Pour un artisan, c’est un modèle hautement pratique car il permet par exemple d’embarquer leur matériel.
Les vélos Momentum : quand sobriété et qualité se mettent au service du prix
Il faudra attendre 2012, pour que Momentum et ses vélos électriques fassent leur apparition. Une véritable révolution… Bon allez, on s’arrête ici, nous n’avons tout de même pas cette prétention. Néanmoins, nos modèles dont la qualité n’est plus à vanter ont le meilleur rapport qualité-prix qu’il est possible de vous offrir.
Vous pouvez retrouver nos 3 modèles de vélos électriques sur le lien précédent. Vous aurez peut-être besoin d’être un peu guidé, alors pour cela cliquez sur le lien ci-contre. Sinon, notre équipe sera ravie de vous aiguiller sur vos besoins ! Ainsi, nous vous suggérons de passer en boutique au 64 rue d’Alésia, dans le 14e arrondissement de la capitale.
Voici ci-dessous, une petite vidéo qui retrace merveilleusement l’histoire du deux roues :